Observations du 03 et 04.08.2017.
Un étang dans la forêt. - Sud-est du Pays Manceau 72.
Aigrettes garzettes (2), épervier d'Europe (mâle), râles d'eau (3), grandes aigrettes (7), rougegorge juvénile, tourterelle des bois...
Biches, putois, sangliers .
Dans les champs - Sud-est du Pays Manceau.
Biches et leurs faons, Brocards, chevrette et ses faons.
Le jour le râle d'eau (Rallus aquaticus) vit caché dans les roseaux touffus des étangs, marais et rivières aux eaux peu profondes, bien qu'on puisse parfois l'apercevoir en limite de roselière. Il migre à l'automne vers le sud-ouest de l'Europe
Le cri habituel du râle peut être assimilé à celui d'un cochon qu'on égorge. Il s'élève brusquement de la végétation, s'accélérant et se terminant par des petits grognements. Il est émis habituellement au crépuscule ou lorsque l'oiseau est dérangé. Le chant de la femelle, nocturne et printanier peut être restitué comme "un tic tic tic ... trui" métallique et répété.
Le râle d'eau se sert de son long bec effilé pour se nourrir. Grâce à lui, il fouille la vase à la recherche de vers et de sangsues et brise la carapace des crevettes d'eau douce, des écrevisses et des insectes. Il mange également des petits poissons et consomme des éléments végétaux tels que les racines, les graines, les baies et parfois les céréales. Par temps de grands froids, il peut procéder à la prédation de petits passereaux. Au départ, les jeunes râles sont nourris par les adultes qui leur apportent des larves, des araignées et des crevettes d'eau douce mais ils acquièrent bien vite leur autonomie et apprennent à se nourrir seuls. Source Oiseaux.net
Râle d'eau.
Râle d'eau.
Râle d'eau.
Râle d'eau.
Intriguée la laie.
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